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D.R.
Une déclaration d’Alain Tingaud à Sud Ouest ce matin corrobore cependant l’hypothèse d’un possible licenciement pour faute grave de Caucau: » Nous ne pouvons pas le licencier sans entretien préalable. C’est pour cette raison que nous attendons son retour pour évoquer son avenir. Je l’ai eu au téléphone récemment, il est au courant ».
Et si l’absence de Caucau n’était qu’une manoeuvre volontaire pour se libérer d’un contrat encombrant à l’heure de signer en Australie ? A moins que, tout simplement, Caucau prenne juste ses très longs quartiers d’été au Fidji…