Préparer l’après-carrière
Conscient que la carrière des sportifs de haut niveau est souvent courte, Thomas Ramos a anticipé son avenir. Il a entrepris une formation en immobilier, un domaine qui l’attire depuis plusieurs années. « Cela me permet de parler d’autres choses que le rugby aussi », a-t-il déclaré à Canal + en début d’année 2023. Avec son mental de compétiteur, il se considère comme un mauvais perdant, que ce soit sur le terrain ou lors de jeux de société.
Passion pour le golf et performances en équipe
En dehors du rugby, Ramos a développé une passion pour le golf, le qualifiant de sport addictif. Il apprécie les défis que ce sport propose, affirmant qu’il y a toujours des détails à améliorer. Sur le plan rugby, Thomas Ramos a joué un rôle clé dans le succès du Stade Toulousain, qui a remporté son 21ème titre en Top 14 en 2021.
Un engagement pour l’endométriose
Thomas Ramos, le talentueux arrière du Stade Toulousain, a décidé de s’engager activement dans la lutte contre l’endométriose, une maladie touchant environ une femme sur dix. Depuis 2019, il soutient sa femme Sophie, affectée par cette malaide depuis 2016, en devenant ambassadeur de l’association EndoFrance, dont Laëtitia Milot est également la marraine. Dans un témoignage diffusé par l’Élysée, il a souligné l’importance de la considération pour toutes les pathologies, affirmant que l’endométriose est une maladie coûteuse.
Un record historique pour l’équipe de France
En 2023, Thomas Ramos a marqué l’histoire en devenant le meilleur marqueur de tous les temps lors d’un tournoi des VI Nations avec 82 points, dépassant l’ancien record de Gérald Merceron. Cet exploit a été réalisé lors d’un match contre le Pays de Galles, où il a failli égaler le record absolu de Jonny Wilkinson.
Un parcours inspirant depuis le début
Thomas Ramos a fait ses débuts en Top 14 à 18 ans avec le Stade Toulousain. Après un prêt au Coulomiers Rugby en Pro D2, il a été élu meilleur joueur de la saison, prouvant sa valeur sur le terrain. Son expérience a été enrichie par des échanges avec d’anciens joueurs comme David Skrela, qui a apporté son expertise à la jeune génération de rugbymen.
Un soutien familial essentiel
Dans une interview, Thomas Ramos a partagé son expérience de quitter le cocon familial à 15 ans pour poursuivre sa passion. Il s’entraînait toute la semaine au pôle espoir et ne rentrait pas chez lui le week-end, étant hébergé par une famille d’accueil. Cette détermination et cet engagement sont des traits marquants de sa personnalité, tant sur le terrain qu’en dehors.