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Top 14 Rugby : Révélations sur les salaires, quelle position décroche l’or ?

Owen Farrell

Photo : Icon sport

Le monde du ballon ovale est souvent scruté pour ses matchs épiques et ses rivalités historiques, mais en dehors des en-but et des mêlées, une autre compétition se joue : celle des salaires.

Dans le Top 14, les chiffres grimpent et les écarts se creusent entre les postes.

Qui touche le jackpot sur le pré vert ? Décortiquons ensemble cette hiérarchie financière des gladiateurs du rugby français.

Les 2e lignes, les titans du Top 14

Publié le 23 décembre 2024, le Midi Olympique dévoile une étude attentive sur la rémunération des joueurs du Top 14. Avec un salaire moyen annoncé à 259 000 euros brut annuel, on pourrait s’attendre à un peloton assez serré.

Pourtant, les statistiques montrent une réalité différente. Les colosses du terrain, les 2e lignes, dominent largement cette pyramide salariale. Leurs revenus avoisinent entre 250 000 et 280 000 euros annuels, une fourchette qui s’explique par la difficile tâche de trouver des athlètes aptes à allier puissance physique et technicité.

Les ouvreurs, avec leur rôle de stratèges, et les centres, pierres angulaires de l’attaque et de la défense, suivent de près avec des salaires entre 250 000 et 260 000 euros, montrant bien l’importance de l’intelligence de jeu dans ce sport de contact.

Quant aux ailiers, talonneurs et piliers gauches, ils ferment la marche avec un salaire moyen se situant autour de 190 000 euros.

Le tableau d’honneur des salaires du Top 14

Les chiffres parlent d’eux-mêmes et mettent en lumière la politique salariale des clubs du Top 14. Les joueurs à la tête de cette élite financière ne surprendront pas : Antoine Dupont, Owen Farrell, Grégory Alldritt, Will Skelton, et Mathieu Jalibert font partie du club très privé des joueurs qui flirtent avec les 600 000 euros annuels.

En conclusion, dans l’arène du Top 14, le salaire des joueurs oscille entre la reconnaissance de la rareté d’un profil et la valorisation de la compétence stratégique.

Les 2e lignes règnent en maîtres sur ce terrain financier, récompensés pour leur combinaison d’attributs physiques et techniques tant recherchés.

Pendant que les maestros au numéro 10 orchestrent le jeu, leurs rémunérations témoignent de l’importance cruciale de leur rôle. Un écart significatif certes, mais qui reflète la complexité et la diversité des compétences que chaque poste requiert sur le pré.

 

Photo : Icon sport

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