À la veille de la reprise du Top 14, l’arrivée d’Owen Farrell au Racing 92 génère un engouement légitime. Jacky Lorenzetti lui-même n’a pas manqué de souligner l’importance des ouvreurs dans l’histoire du club, plaçant Farrell dans la continuité des Dan Carter et Finn Russell.
Un maillon d’une tradition prestigieuse
Accumulant plus de 1 237 points avec le XV de la Rose, Farrell n’est pas étranger à la pression et au succès. Utilisé majoritairement à l’ouverture, mais aussi compétent au centre, sa polyvalence sera un atout indiscutable pour les Ciel et Blanc.
Son passage remarquable chez les Saracens, avec plus de 2 700 points marqués, n’a fait que renforcer l’empressement de le voir évoluer en Top 14.
« Le Racing me correspondait parfaitement »
La venue de l’Anglais au Racing 92 semble guidée par une ambition partagée et une confiance mutuelle avec son ancien sélectionneur, Stuart Lancaster, désormais dans l’encadrement du Racing.
« Quand j’ai pris la tête de la sélection, j’ai aligné Owen pour mon premier match »
Stuart Lancaster
Confirme Lancaster, affichant un optimisme partagé par le joueur.
Farrell, un maillon collectif et non un sauveur
Conscient de l’absence de titre du club depuis 2016, Farrell rappelle qu’il n’est pas là pour jouer les héros solitaires. Son intégration est envisagée dans un esprit d’équipe, une perspective qui lui permettra de tirer le meilleur de ses coéquipiers, notamment du jeune Nolann Le Garrec. Malheureusement, leur première association devra attendre en raison de l’indisponibilité du demi de mêlée.
Farrell, une motivation pour tout un club
L’arrivée d’un joueur de la trempe de Farrell au Racing 92 ne manquera pas de dynamiser le Top 14. Sa capacité à s’adapter et à influencer le jeu sera scrutée dès ses premiers pas sur les pelouses françaises.
En fin de compte, c’est l’efficacité collective qui sera le baromètre de son succès au sein du club francilien.
Photo: Icon Sport