D.R.
Jouer un jour au pays du long nuage blanc, un rêve que beaucoup d’Européens ont fait dans leur carrière sans jamais pouvoir le réaliser. Seul exemple en date pour la France, Christian Califano aux Auckland Blues. La raison est simple. Sauf cas de force majeure, il était interdit aux formations néo-zélandaises de Super 14 d’engager de joueurs étrangers.
Mais avec le passage à quinze équipes dans le nouveau Super Rugby, la loi change chez les Kiwis. Les franchises néo-zélandaises pourront avoir deux étrangers dans leur effectif. A noter que les joueurs des îles pacifiques (Tonga, Samoa, Fidji) ne sont pas considérés comme étrangers en Nouvelle-Zélande. C’est donc une porte ouverte pour les Européens, les Argentins, les Sud-Africains ou encore les Australiens. Un nouveau marché s’ouvre…