Michael Ruru, la pièce maîtresse de Vannes, signe jusqu’en 2027

Michael RURU
Posté par K. D. le 3 septembre 2024

Dans le cadre de sa volonté de se renforcer pour le Top 14, le RC Vannes a officialisé ce lundi la prolongation du demi de mêlée Michael Ruru.

Le joueur néo-zélandais, véritable clé de voûte du dispositif vannetais, reste fidèle au club breton en signant un nouveau contrat qui le lie à Vannes jusqu’en 2027.

Michael Ruru, un acteur incontournable à Vannes

Arrivé en février 2023, Ruru a rapidement su s’imposer comme un élément incontournable au sein de l’effectif vannetais. À 33 ans, il cumule déjà 36 matchs dont 33 en tant que titulaire en un peu plus d’une saison.

Sa prolongation de deux saisons, avec une option pour une troisième, est un signe fort de la confiance que lui accorde le club.

La montée en Top 14 et l’expérience de Ruru

C’est certainement grâce à ses performances solides et son expérience que le RCV a pu accéder au Top 14. Le demi de mêlée, ancien joueur de Bayonne, va redécouvrir l’élite du rugby français, mais cette fois-ci sous les couleurs de Vannes, ce qui enchante à coup sûr le public breton ainsi que le staff technique.

La régularité et la maîtrise de Ruru sur le terrain sont des atouts que le club breton entend bien exploiter pour faire face aux défis du Top 14.

Sa capacité à guider les avants et à dynamiser le jeu de son équipe seront essentiels pour la première saison du RCV à ce niveau.

Une nouvelle ère pour le RC Vannes

Cette prolongation ne constitue pas seulement une bonne nouvelle pour les supporters ; elle incarne également la vision à long terme du club. En conservant Ruru, Vannes mise sur la continuité et l’expérience, éléments capitaux pour toute équipe souhaitant se faire une place et perdurer dans le rugby de haut niveau.

Le parcours de Michael Ruru avec Vannes sera à suivre avec attention. Ses performances seront certainement un baromètre de la réussite de l’équipe dans les mois à venir.

Une chose est sûre, avec cette signature, le RCV envoie un message clair à la concurrence : ils ne sont pas en Top 14 pour faire de la figuration.

 

Photo: Alexandre Dimou/Alexpress/Icon Sport