Vous l’avez peut-être cherché des yeux sur le terrain sans parvenir à le trouver. Rory Kockott, la sentinelle demi-de-mêlée du Stade-Français, s’était fait discret depuis décembre, laissant planer un suspense presque romanesque. Mais, ô rassurez-vous, l’énigme de son absence est désormais résolue.
Entre Paris et les champs sud-africains, le choix de Kockott
Imaginez : un dernier tour de magie face au Stade-Toulousain, et puis le silence. Pour les aficionados du Top 14, c’est un vide soudain qui aurait presque mérité un avis de recherche. Mais que les esprits se calment, L’équipe nous apporte un soulagement attendu : la raison de cette disparition n’est autre qu’une pause gestionnaire bien méritée.
Kockott, loin des prés parisiens, a volé vers ses terres sud-africaines, vers la ferme qui nécessite son attention, planifiée depuis la fin de son contrat de joker Coupe du monde. En vert et contre tout, le Stade-Français n’a pu se résoudre à le laisser partir si tôt et l’a retenu dans la capitale, conscient du besoin de son joueur de composer avec ses deux mondes.
Une trêve révolue : L’étoile Kockott prête à briller de nouveau
Et maintenant, que la mêlée se prépare, Rory Kockott est de retour. Paris, la ville lumière, renoue avec l’une de ses étoiles du ballon ovale, fin prête pour l’excitation du week-end et la frénésie du match de Champions Cup contre le redoutable Leinster.
Le Top 14, ce conte perpétuel, trouve dans le périple de Kockott une histoire dans l’histoire, une aventure humaine au-delà des en-but. Un voyageur qui revient, un compétiteur qui n’a rien oublié de l’adresse et du flair qui font les grands noms du rugby français.
Alors que les supporters guettent avec impatience sa silhouette redoutée et respectée sur le pré, l’heure n’est plus à l’inquiétude mais à la célébration d’un retour qui, à n’en pas douter, marquera de nouveau le championnat de sa griffe inimitable. Entre ballons ovales et champs lointains, Kockott réconcilie l’amour du sport et les appels de la vie.
Photo : Icon sport