Lors d’une rencontre récente en Pro D2, Francisco Gorrissen, figure emblématique du Rugby Club Vannes, a livré ses impressions sur la prestation de son équipe.
Après une bataille acharnée, Gorrissen révèle un mélange de déception et de satisfaction : le chagrin d’avoir frôlé la victoire, mais également la fierté d’avoir décroché un point précieux face au Stade Français.
Un engagement sans faille
Selon Gorrissen, l’un des maux du RC Vannes réside dans les entames de match qui manquent parfois d’intensité et de prise de conscience du niveau requis dès le coup d’envoi.
« On rate les plaquages, on se fait transpercer »
Francisco Gorrissen
Confie-t-il, soulignant toutefois une réaction d’orgueil :
« je suis content car on n’a pas lâché. »
Francisco Gorrissen
Cette résilience est une « promesse de ce groupe » fixée comme objectif pour la saison.
Des axes d’amélioration clairs
Cependant, l’optimisme de Gorrissen ne l’empêche pas de pointer du doigt les faiblesses à corriger : la défense, des failles au milieu du terrain, et une communication insuffisante qui mène à des hésitations préjudiciables.
Ces aspects sont cruciaux pour améliorer la réactivité et la coordination en sortie de rucks.
L’appui des supporters : une force motrice
Gorrissen ne manque pas de souligner l’importance du soutien des fans, même lors des déplacements comme à Paris, évoquant un sentiment fort de ne jamais être seul grâce à la ferveur du public.
« Ça m’a donné la chair de poule, »
Francisco Gorrissen
Avoue-t-il, reconnaissant l’influence positive des supporters sur l’équipe.
La suite du combat en Pro D2
L’heure est désormais à la concentration sur les prochaines échéances. Gorrissen et son équipe savent ce qui les attend :
« il faut gagner tous nos matches à domicile si on veut se maintenir. »
Francisco Gorrissen
Un objectif clair pour une équipe soudée et prête à tout donner pour ses couleurs et son public fidèle.