D.R.
On l’a vu avec Montauban, la DNACG ne rigole pas. Après avoir été relégué en Pro D2, Montauban est finalement reparti en Fédérale 1 en raison de problème financier. Bourgoin pourrait subir le même sort. Chaque jour amenant son lot de rebondissements. En Pro D2, Tarbes et Albi sont aussi surveillé de près par le gendarme financier.
Entre rigueur financière et excès de zèle, quelle est la limite. On le voit avec Bourgoin, se sont des différences d’interprétation qui entraîne ces procédures à rallonge. A un mois du début du Top 14, et alors que le calendriers des oppositions est tombé, on ne se toujours pas sera engagé en Top 14. Les dirigeants du CSBJ sont confiants, mais ne sont pas à l’abri des pointilleux gendarmes financiers.
L’acharnement sur certains clubs ne risquent-ils pas de décourager les dirigeants en place et de faire peur aux éventuels investisseurs? Ou au contraire, selon vous, la DNACG doit faire preuve de la plus grande fermeté ?