D.R.
Simon Raiwalui a pris la place de Patricio Noriega, parti à Bayonne, comme coach des avants du Stade Français où il a retrouvé Gonzalo Quesada.
Dans une interview accordée à Midi Olympique, l’ancien deuxième-ligne fidjien a expliqué pourquoi il avait décidé de quitter le Racing-Métro un an avant la fin de son contrat. Extraits.
Pourquoi le Stade Français : « L’an dernier, j’ai passé une bonne saison avec le Racing-Metro mais j’avais besoin d’un nouveau challenge. J’ai donc demandé au président Lorenzetti s’il était possible de me libérer avant la fin de mon contrat. Le président a réfléchi et m’a donné son accord. Il m’a fait un beau cadeau, sans doute pour me remercier de mon investissement pendant plusieurs années. J’ai toujours tout donné pour le Racing. J’ai grandi avec ce club. J’ai été joueur, capitaine, coach, manager. J’ai vécu de grands moments. Et Je tiens d’ailleurs, encore une fois, à remercier le président. »
La relation avec le duo Labit-Travers : « Je n’ai eu aucun problème avec Laurent Travers et Laurent Labit mais j’avais besoin de me fixer un nouvel objectif. Pouvoir retravailler avec Gonzalo était un projet séduisant. Et puis, je connaissais déjà Jeff Dubois (entraîneur des trois-quarts du Stade Français) pour avoir joué avec lui au Racing. Je connaissais également Adrien Buononato (ancien responsable du centre de formation du Racing qui a rejoint, lui aussi cette saison, le Stade français pour intégrer le staff de Quesada). C’est aussi pourquoi je me suis senti tout de suite comme à la maison en rejoignant le Stade français. L’an dernier, Il y a eu déjà eu quelques contacts mais je suis un peu « old school ». Je ne me voyais pas partir du Racing alors que le club prenait un nouveau virage. J’avais envie d’assurer la transition. »