D.R.
Cet automne, et alors que son contrat avec la fédération italienne se terminait et qu’il n’a pas été prolongé, Nick Mallett a reçu de nombreuses propositions.
L’ancien entraîneur explique pourquoi il n’a pas rebondi à l’issue de la Coupe du monde dans une interview accordé à Midi Olympique. Il y a d’abord eu l’Angleterre : « Les premiers contacts remontent à novembre. Ils voulaient m’installer à la place de Martin Johnson. Mais il me fallait du temps après la Coupe du monde, je ne pouvais pas enchaîner si vite. » Stuart Lancaster a assuré l’intérim puis a été nommé jusqu’en 2015. Nick Mallett a également été contacté par des clubs comme la Western Force, les Auckland Blues, deux clubs anglais (dont il n’a pas précisé les noms) Lyon, le Stade Français et Toulon. C’est avec le RCT que les contacts étaient les plus proches d’aboutir : « La proposition de Toulon m’a vraiment tentée. Mourad Boudjellal m’a appelé, mais j’étais encore sélectionneur de l’Italie et je ne voulais pas m’engager ailleurs tant que la Coupe du monde n’était pas terminée. Si la proposition était venu un peu plus tard, si Boudjellal avait un peu patienté, j’y serais allé. » Quant au Stade Français, il a simplement déclaré : « Je ne suis pas nostalgique. J’ai déjà donné. »