87% des Français derrière Galthié, O’Keeffe dans le viseur : Le verdict post-Coupe du Monde !

Fabien Galthié
Posté par Bruno Ibanez le 24 octobre 2023

L’élimination des Bleus en quart de finale de la Coupe du Monde de Rugby 2023 a suscité de vives réactions. Entre le soutien à Fabien Galthié et les critiques envers l’arbitre Ben O’Keeffe, les Français ont tranché.

Le coup de sifflet final a retenti, et avec lui, une pluie de réactions, d’émotions et de verdicts. Qui est le héros ? Qui est le vilain ?

Galthié : L’homme de la situation malgré tout

L’élimination prématurée des Bleus n’a pas ébranlé la confiance des Français en Fabien Galthié. Selon un sondage Odoxa, 87% des Français et 94% des amateurs de rugby sont satisfaits de sa reconduction à la tête du XV de France. Une confiance renouvelée malgré la défaite, car comme on dit, « Après la pluie vient le beau temps ». Et pour les Bleus, l’avenir semble radieux. 77% des sondés croient en une victoire au Tournoi des 6 Nations 2024, et 71% voient la France championne du monde en 2027.

Ben O’Keeffe : L’arbitre dans la tourmente

Si Galthié a reçu le soutien du public, l’arbitre néo-zélandais Ben O’Keeffe n’a pas eu cette chance. 54% des Français estiment que la défaite des Bleus est due à ses décisions. Une opinion partagée par 70% des amateurs de rugby. Mais est-ce du chauvinisme ou une réelle critique objective ? La question reste en suspens.

L’avenir des Bleus : Espoir et renouvellement

L’élimination a également été marquée par les retraites internationales de Uini Atonio et Romain Taofifenua. De plus, des changements sont attendus au sein du staff de Galthié. Mais comme on dit en France, « Chaque pot a son couvercle ». Et Galthié semble avoir trouvé le sien avec l’arrivée de Laurent Sempéré, ancien talonneur et coach de la mêlée du Stade français.

Les Bleus ont peut-être perdu une bataille, mais la guerre n’est pas finie. Avec le soutien indéfectible de leurs supporters et une équipe déterminée, l’avenir du rugby français semble prometteur.

 

Photo : Sandra Ruhaut/Icon Sport